Challenges : Pop Eye parmi les 100 start-up où investir en 2022
Un grand merci au jury de Challenges de nous avoir sélectionnés parmi les 100 start-up où investir en 2022 !Quel chemin parcouru depuis le début de l’aventure Pop Eye.
Vous pouvez retrouver l’intégrale de l’article ici
Le concept de cette sélection ?
Des milliers de start-up candidatent dans le but d’être sélectionnées pour figurer parmi la sélection “les 100 start-up où investir” selon l’année de l’édition. Ainsi les 100 start-up retenues sont considérées comme “Les plus innovantes et les plus prometteuses” selon le jury de Challenges composé de professionnels, investisseurs et journalistes.
Ci-dessous, la retranscription de l’article :
Pop Eye permet de remettre l'humain au coeur de la relation candidat-recruteur avec une approche 100% vidéo. Cette start-up fait partie de la sélection "100 start-up où investir en 2022” de Challenges.
Sur l’application mobile 100% vidéo Pop Eye, les chercheurs d’emploi se présentent dans une vidéo de moins de 30 secondes. Les start-up et PME décrivent quant à elles leurs offres d’emploi en images. Pop Eye veut ainsi accélérer le recrutement des 18-35 ans, familiers du format vidéo. "Trop de jeunes diplômés ne trouvent pas d’emploi à la sortie d’école et trop d’emplois ne trouvent pas preneurs", explique Dan Bessis, 30 ans, qui a fondé la start-up en 2018, avec Jérémie Fichebin, 34 ans. Exit les longues descriptions écrites: les candidats se créent une carte de visite numérique à l’aide d’outils disponibles gratuitement sur l’application. Mais s’ils veulent voir leur profil mis en avant, ils doivent débourser entre 1,99 et 3,99 euros. De leur côté, les start-up, PME, restaurateurs ou commerçants cherchant à recruter peuvent eux aussi faire la publicité de leurs offres en images. Une formule payante, à 13.000 euros environ, est disponible pour les entreprises cherchant un contenu plus travaillé, avec tournage. Téléchargé plus de 60.000 fois sur l’App Store d’Apple, Pop Eye a aidé 10.000 personnes à trouver un emploi et réalisé plus de 190.000 euros de recettes. La start-up a encore de beaux jours devant elle: ses fondateurs sont actuellement en discussion avec Pôle emploi pour que l’outil soit recommandé auprès des recruteurs. Ils travaillent également à un système d’abonnement destiné aux entreprises qui recrutent en continu. Objectif: "devenir un géant du recrutement", lance Dan Bessis.